Le 08 mai 2008 Mon amie, Monica
A l'heure où le printemps dévoilait ses secrets,
Et le soleil, ses nombreux rayons déployait,
Ton amie, ton chat, perdait son souffle à jamais,
T'abandonnant, te laissant désespérée
Ses ronrons ne rythmaient plus la cadence de ton clavier,
Ses respirations n'étaient plus là pour t'accompagner
Ce vide insupportable à l'inexplicable s'associait,
A tel point que personne n'aurait soupçonné...
Trop éprouvantes ces douleurs physiques
A tes souffrances morales s'additionnaient
Belle rose Monica tu as fané,
Eteint ta "Melody"...sans musique
Ton bagage trop lourd pour une chanson gaie
L'unique goutte en plus et les nuages pleuraient.
Qui savait écouter te sentait lentement glisser
Avec au fond du coeur, l'espoir secret qu'ici tu resterais.
Ton parcours fut plein de défis,
Tu bravais chaque accident de la vie.
Tel un certificat témoin de tes capacités,
Avec ton incroyable force, tu rebondissais !
Ton nom teinté de mélodies
Reflétait la partition de ta vie
Avec des hauts, des bas, blanc, noir ou gris.
Hélàs ce jour là, le noir l'a emporté sans bruit...
Ce texte n'a plus de sens aujourd'hui.
Et tu n'as pas reçu celui que j'avais écrit.
Là, tu aurais mesuré le soutien de tes amis.
Désormais, Monica mon amie, ne tintera plus ta mélodie...!
Valentine
00035816
le 08 mai 2008 -texte - mise en page - graphisme © Au jardin de Valentine
